Une conversation au téléphone. Conjuguez les verbes au présent.
Mathilde : J’aimerais tellement que tu (venir) à la soirée vendredi !
Chloë : J’aimerais bien aussi, mais mon père ne veut absolument pas que j’y (aller) .
Mathilde : Pourquoi ? Il a peur que tu ne (faire) des bêtises ?
Chloë : C’est un dictateur. Il n’a qu’une seule envie, c’est qu’on lui (obéir) .
Mathilde : Mais c’est trop dommage que tu ne (pouvoir) pas venir ! Il vaudrait mieux que tu lui (dire) que tu viens chez moi, sans parler de la fête.
Chloë : Si jamais il découvre le mensonge, il faudra que je (prendre) le premier train vers l’aéroport, et que je ne (revenir) revienne jamais. Il me tuerait sinon !
Mathilde : Je suis étonnée qu’il ne te (permettre) jamais, jamais de sortir, rien que pour t’amuser un peu. Il est temps qu’il (se rendre compte) que tu n’es plus un bébé.
Chloë : Tu sais, j’ai vraiment peur qu’un jour il m’ (interdire) d’aller en ville pour faire des achats en pleine journée. Il est complètement taré.
Mathilde : Ne t’inquiète pas, il est encore possible que nous (trouver) une solution pour vendredi. On se rappelle ?
Chloë : D’accord, j’y réfléchirai de mon côté aussi. Ciao.
Mathilde : Salut.