Conjuguez les verbes au subjonctif présent ou au subjonctif passé, selon le cas.
Il est content que ses clients (venir) régulièrement acheter ses poissons.
Ce matin, il est content que ses clients (viennent) plus tôt que d’habitude ; il a presque tout vendu déjà.
Il est déçu que la pêche (être) en baisse depuis quelques années.
Il est déçu que la pêche au thon, en particulier (être) strictement limité l’année dernière.
C’est dommage que son fils (partir) à l’université en septembre dernier.
C’est dommage que son fils ne (revenir) que deux week-ends par mois pour l’aider.
Il est heureux que son métier (être) encore rentable.
Il est heureux que son métier (être) officiellement reconnu par le Président de la République comme « un métier de tradition française ».
Chaque jour, il faut qu’il (partir) très tôt pour aller chercher son poisson.
Parfois, sa famille regrette qu’il (choisir) ce métier, car ils ne le voient pas souvent.
Sa femme doute qu’il (être) capable de le continuer toute sa vie.
Elle aimerait qu’il (décider) d’opter un jour pour un métier moins dangereux.
Mais Jean-Luc est fier que sa famille (pouvoir) vivre de sa pêche pendant de longues années.